Il n’est pas rare d’entendre aujourd’hui dans les médias des spécialistes de l’enfance et de la pédagogie s’insurger contre la notation des élèves, source selon eux de dévalorisation et de mal être pour les jeunes en difficulté scolaire.
Dans le même temps, il n’y a jamais eu autant de concours organisés, en témoignent les différentes émissions télévisuelles de cuisine et autres télécrochets. Cela semble refléter aussi, quelque part, notre société actuelle.
Loin de nous l’idée de relancer ici l’éternel débat sur le jugement de l’autre mais constatons simplement que les formations du paysage (comme de l’horticulture) sont également ponctuées par ces concours qui fédèrent à la fois apprenants, enseignants et professionnels.
A l’image de ce qui se fait dans les métiers de la restauration et du bâtiment, les concours organisés par la filière paysagère ont un impact positif sur tous les acteurs de cette filière. Ainsi, l’UNEP est partie prenante des « Olympiades des métiers » et espère que les candidats viennent à ce concours dans un esprit de compétition. Du côté de la DRAAF et du Conseil Régional de Bretagne, ces concours permettent de valoriser les métiers de l’horticulture et du paysage auprès du grand public.
Car en plus des Olympiades, les jeunes ont la possibilité de montrer leurs compétences lors de concours de reconnaissance de végétaux et également au concours « un des meilleurs apprentis de France» organisé par la société des Meilleurs Ouvriers de France.
Sachant que pour chaque concours, il y a souvent des sélections locales, départementales, régionales, nationales (voire internationales), il est évident que ces épreuves sont perçues par tous comme de belles opportunités pour valoriser à la fois la filière professionnelle et bien entendu chaque candidat qui y participe.
Arnaud.
En TP la confrontation surune même unité de lieu et de temp permet de créer une saine émulation et cela toute les semaines lors des séances sous le tunnel.