Une partie des boutures de géranium lierre, cultivées à froid dans notre serre de multiplication depuis novembre, ont été attaquées par un champignon appelé communément botrytis ou « pourriture grise ».
Les plants les plus atteints (pourrissement total des tiges des boutures) ont été retirés des plaques alvéolées. Puis, un traitement réalisé avec de l’OCTAVE, fongicide spécifique pour l’horticulture contre le botrytis, a donc été pulvérisé cette semaine (0,05 kg/hl soit 1g/2L d’eau).
Un agrosystème est défini comme un système composé d’un ensemble d’êtres vivants et de son milieu, animé de flux, et organisé par l’homme pour répondre à différents objectifs, notamment économiques. Une notion parfois difficile à appréhender par les élèves !
Dans le cadre du module EP2, les 2nde pro « Productions végétale, Horticulture » se sont penchés sur le fonctionnement des agrosystèmes présents dans la serre de production du lycée. Après l’observation et l’identification des différentes composantes, ils ont finalisé leur travail par des schémas.
Dans le cadre de l’EIE « kiff les plantes, le p’tit journal de l’exploitation », les 2nde pro productions horticoles et vente de produits de jardin et leurs enseignants ont mis toute leur énergie pour qu’en cette fin d’année 2013 le 1er numéro de « Mon p’tit jardin » puisse paraître !
On y parle de plantes, bien sûr, mais pas uniquement ! Vous y trouverez des jeux, des recettes de saison, des interview, des conseils pour les nuls, des dessins, des photos, un agenda, et plein d’autres infos utiles !
– De la paille
– Des morceaux de bois creux (par exemple du bambou, du sureau) et de bois pleins (par exemple du noisetier)
– Des pommes de pin
– Des morceaux d’ardoise
– Un pot en terre cuite, de la terre et de l’eau.
– Une caisse en bois type caisse à bouteilles de vin.
– De petites planches de bois non traitées, de la largeur de la caisse.
Préparation :
– Disposez les planches de bois dans la caisse de manière à laisser plusieurs parties libres, afin de pouvoir séparer les différents matériaux.
– Mélangez la terre dans l’eau de manière à ce que le résultat fasse de la boue compacte. Puis, mettez 2 cm cette préparation dans le pot en terre.
– Mettez de la paille en vrac dans le pot, puis placez le dans un endroit quelconque de la caisse.
– Dans les endroits qui resteront, mettez le branchage de façon à ce que le bout des branches soit face à vous et aussi les pommes de pins.
– Glissez les morceaux d’ardoise dans la caisse. Normalement, si vous avez bien respecté les consignes, vous devez obtenir le même résultat que sur le dessin !
– Une fois terminé, placez le nichoir dans votre jardin, exposé au sud-est (c’est-à-dire à l’abri du vent et de la pluie);
Fleur de la joie dans la symbolique coréenne ou chinoise.
De Pékin à Séoul et jusqu’en Russie, le chrysanthèmesymbolise l’éternité, la gaîté, le plaisir, peut-être parce que la nature est un peu « tristounette » et grise en fin d’automne et qu’elle s’illumine de cette floraison colorée.
Mercredi 4 et jeudi 5 décembre, s’est déroulée à Lyon la finale nationale du concours de reconnaissance des végétaux.
Merdrignac y était représenté en force avec 4 élèves ou apprentis: Natanaëlle Deniel, ancienne CAP fleuriste, Geoffrey Le Bouvier en terminale BAC PRO conseil vente de produits de jardin, Erwan Laforest en 2° année de BTS commerce jardins et végétaux d’ornement et Clément Salun ex BTS Aménagements paysagers.
Ces jeunes avaient gagné la médaille d’or dans leurs catégories respectives, l’an passé, lors du concours régional breton.
Tous ont donc fait le déplacement pour rencontrer les lauréats des autres régions; ces épreuves se déroulant dans l’enceinte du salon Paysalia, le rendez-vous des paysagistes de toute la France.
Le concours est organisé par le syndicat qui regroupe l’interprofession: Val’hor aidé d’enseignants et avec l’appui logistique du LEGTA de Lyon-Dardilly.
L’épreuve consiste à reconnaître 30 ou 40 échantillons (selon le niveau) de végétaux numérotés sur des tables, en spécifiant :
la famille
le nom botanique complet : Genre, espèce, Variété ou Cultivar s’il y a lieu,
le nom vernaculaire (français)
ainsi qu’un critère botanique spécifique à la plante.
En tout, plus de 70 jeunes ont pu concourir dans une ambiance studieuse de passionnés parlant latin dans les coursives de l’épreuve.
Tous sont très forts en mémorisation : jusqu’à 600 plantes doivent être connues par les BTS. Elles sont publiées dans une liste officielle que les concurrents relisent dans le train ou avant de concourir : c’est très impressionnant ! Continuer la lecture de Finale du concours de reconnaissance des végétaux