Fleur de la joie dans la symbolique coréenne ou chinoise.
De Pékin à Séoul et jusqu’en Russie, le chrysanthèmesymbolise l’éternité, la gaîté, le plaisir, peut-être parce que la nature est un peu « tristounette » et grise en fin d’automne et qu’elle s’illumine de cette floraison colorée.
Mercredi 4 et jeudi 5 décembre, s’est déroulée à Lyon la finale nationale du concours de reconnaissance des végétaux.
Merdrignac y était représenté en force avec 4 élèves ou apprentis: Natanaëlle Deniel, ancienne CAP fleuriste, Geoffrey Le Bouvier en terminale BAC PRO conseil vente de produits de jardin, Erwan Laforest en 2° année de BTS commerce jardins et végétaux d’ornement et Clément Salun ex BTS Aménagements paysagers.
Les participants à la finale nationale
Ces jeunes avaient gagné la médaille d’or dans leurs catégories respectives, l’an passé, lors du concours régional breton.
Tous ont donc fait le déplacement pour rencontrer les lauréats des autres régions; ces épreuves se déroulant dans l’enceinte du salon Paysalia, le rendez-vous des paysagistes de toute la France.
Le concours est organisé par le syndicat qui regroupe l’interprofession: Val’hor aidé d’enseignants et avec l’appui logistique du LEGTA de Lyon-Dardilly.
L’épreuve consiste à reconnaître 30 ou 40 échantillons (selon le niveau) de végétaux numérotés sur des tables, en spécifiant :
la famille
le nom botanique complet : Genre, espèce, Variété ou Cultivar s’il y a lieu,
le nom vernaculaire (français)
ainsi qu’un critère botanique spécifique à la plante.
En tout, plus de 70 jeunes ont pu concourir dans une ambiance studieuse de passionnés parlant latin dans les coursives de l’épreuve.
Tous sont très forts en mémorisation : jusqu’à 600 plantes doivent être connues par les BTS. Elles sont publiées dans une liste officielle que les concurrents relisent dans le train ou avant de concourir : c’est très impressionnant ! Continuer la lecture de Finale du concours de reconnaissance des végétaux
Paysalia est maintenant devenu, pour sa 3° édition, le rendez-vous incontournable de la profession d’entrepreneur paysagiste.
murs végétalisés !
Tous les 2 ans, l’ensemble des fournisseurs se doit d’être là : Ils étaient plus de 350 : pépiniéristes, fabricants de dalles, de matériels d’arrosage, de clôtures etc.
De plus, les organisateurs (l’UNEP en particulier) proposent à 4 paysagistes de réaliser un jardin éphémère dans « le carré des jardiniers » occasion pour ces créatifs de laisser s’exprimer leurs talents : le public adore.
Notre banque d’images vient de s’étoffer, avec la mise en ligne de nouvelles galeries de photos :
Une galerie sur nos chrysanthèmes petites fleurs, produits en pot, en coupe ou en jardinière ( cliquer sur l’image pour accéder à la galerie d’images )
Les étudiants de la classe de BTS 1 TC ont eu la chance de visiter l’élevage « Cria Alpaga » à Lannion.
L’éleveur M. Jack Olivier nous a présenté son élevage de 18 alpagas comprenant 2 sous-espèces: le « huacaya » (qui a un poil long, doux et soyeux) et le « suri » (qui a un poil long tombant en rasta).
L’alpaga est un animal très rustique, solitaire et très curieux. Il vit 20 à 25 ans et a une gestation de 11mois et demi. Les avantages d’avoir un alpaga c’est qu’il ne s’enfonce pas dans le sol et n’abime pas le terrain, il n’arrache pas l’herbe, il la coupe et élague tout ce qu’il a à sa hauteur.
M Olivier élève uniquement des animaux aux couleurs solides (unicolores) : Noir, Marron et Blanc, afin de récupérer la toison. Cela lui permet d’obtenir une laine de très bonne qualité.
Les critères de qualité :
– Poils fins
– Ondulations
– Brillance du poil
La laine d’alpaga est 8 fois supérieure à la laine de mouton. Autonettoyante, légère, la laine d’alpaga peut se porter toute l’année ! Elle permet même une meilleure circulation sanguine.
Dans sa boutique « Cria Alpaga », il vend des vêtements fabriqués avec ses propres toisons d’alpaga, Les tricoteuses peuvent faire du surmesure, elle fabrique des layettes, nids d’anges, bonnets, écharpes, châles, pulls, mitaines etc… 100% alpaga de couleur naturelle.
En octobre 2013, nous avons reçu plusieurs équipements pédagogiques dont voici les premiers arrivés :
Un enrouleur d’arrosage d’une capacité de 100 mètres de tuyau tricoté diamètre 19mm. Il permettra de faciliter le déplacement du tuyau pour l’arrosage des plantes et des légumes des serres.
Pour l’atelier machinisme, une nouvelle perceuse à percussion filaire MAKITA et une Presse hydraulique d’une capacité de 10 Tonnes permettra la réparation de certaines machines et le travail des métaux pour les travaux pratiques en Agroéquipement.
Mardi 17 septembre, les élèves de seconde et terminale professionnelles « productions horticoles » et « vente de produits de jardin » sont allés visiter l’exploitation du lycée horticole de Coutances, en Basse Normandie. Au programme : visite guidée des jardins et de la collection de dahlias, et découverte de la production horticole des serres.
Dans le cadre de la prévention des risques dont a la charge la MSA, Gildas Griveau, conseiller prévention de la MSA 22, m’a fourni en test de nouvelles protections de cardan disponibles en remplacement des protections usées ou devenues non conformes.
Une protection de cardan non conforme est très dangereuse par le risque de rotation que peut entraîner le cardan.
Cette nouvelle protection à base de silicone est très souple d’utilisation et assure une protection totale. Lorsqu’elle est repliée, la sécurité du cardan est visible donc le cardan est facile à enclencher et verrouiller, de plus le graisseur est aussi facile d’accès pour l’entretien. Lorsque cette protection est dépliée, elle assure une protection complète de la rotation du cardan. Cette protection est souple se déplie et se replie facilement comme une « chaussette ». Elle semble un bon compromis de remplacement des bols de protection de cardans usés.